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📹 Des vidéos sur la démocratie, et pas seulement de la politique (institutions, école, travail) ✍️ Des infographies pour creuser l’actu démocratique
  • Une dizaine de guadeloupéens vont être indemnisés par l’Etat français pour « préjudice moral d’anxiété » : leur exposition au chlordécone au cours de leur vie et leur inquiétude sur le sujet légitiment ce verdict. Dix indemnisations sur presque 1300 plaintes. Une petite victoire qui montre un problème plus large de santé publique : le chlordécone, pourtant interdit en France hexagonale, participe à la pollution de l’eau en Guadeloupe, à une crise de l’eau pour ces citoyens ultramarins.

Depuis 2020, Sabrina Cajoly s’engage sur la question de l’accès à l’eau potable en Guadeloupe. Comme beaucoup de territoires dits d’outre-mer, le département français est secoué par de fortes inégalités économiques et sociales. Le taux de pauvreté y est 5 à 15 fois plus important que dans l’Hexagone et le coût de la vie extrêmement élevé. 

Alors, quand le département organise des « tours d’eau », que l’eau courante est polluée par de forts taux de chlordécone, voire des excréments, il faut se ravitailler en bouteilles ou installer des réservoirs. Et ça a un coût bien trop élevé pour la plupart des guadeloupéens. L’Etat français a pourtant l’obligation d’assurer cet accès à l’eau potable pour l’ensemble de ses citoyens, et c’est ce que nous explique Sabrina Cajoly.

Depuis plusieurs années, et face à l’inaction de l’État, son association, @kimbered_fwi a mis en place des recours, à différentes échelles, pour tenter de faire avancer la situation. La juriste s’est aussi bien tournée vers le Conseil de l’Europe que les Nations Unies. Des demandes ignorées voire contestées par l’Etat français.

Leur réclamation au Conseil de l’Europe, plus précisément au Comité européen des droits sociaux, est en cours depuis mars 2024. En espérant qu’enfin les Guadeloupéens seront traités comme tous les Français.

Realisation et montage : @perrinebontemps / © MOB
  • Contrairement à ce qu’en dit généralement la classe politique, quand on demande aux gens de prendre des décisions collectives, ils proposent des idées et solutions pertinentes. Le tout c’est de bien les accompagner dans la thématique choisie.

C’est le sujet du nouvel épisode de notre série sur l’Assemblée populaire et citoyenne de @ville_de_poitiers ! 

On vous a déjà expliqué ce que c’était que l’Assemblée et qui arbitrait le processus (@frequencecommune Commune). Dans ce 3ème épisode, on voulait comprendre comment étaient informés et éduqués les citoyens au sujet choisi : l’accès à une alimentation saine et de qualité pour toutes et tous. Voire une sécurité sociale de l’alimentaire. 

De nombreux spécialistes de ces questions, des agriculteurs à la grande distribution sont venus discuter de tout cela avec les habitants de Poitiers pour qu’ils aient toutes les cartes en main. L’objectif : leur permettre de prendre une grande mesure sur cette question les 14 et 15 mars à Poitiers ! 

Sinon rdv fin mars début avril pour notre dernier épisode et leur décision citoyenne à soumettre au conseil municipal et donc aux élus !

Réalisation et montage : @elliot_clarke_01
  • En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
  • Immigration, fin de vie, démocratie, le gouvernement semble vouloir interroger les français, mais il ne sait pas encore sur quoi. Pour ça, il pourrait, en tout cas, ressortir un outil démocratique depuis longtemps délaissé : le référendum. Laissées au placard depuis 2005 et le référendum sur la Constitution européenne, ces questions posées directement aux citoyens permettent pourtant de s’exprimer sur des enjeux nationaux mais aussi locaux. 

Les Gilets jaunes l’ont remis au goût du jour en 2018 avec leur demande de RIC, référendum d’initiative citoyenne. Depuis, beaucoup de maires s’y essaient et plus de 150 référendums locaux ont eu lieu depuis 2021. 

Paul Cébille a analysé ces usages et mis en lumière leur utilité dans un rapport publié par GénérationLibre. Il y détaille ces belles réussites en termes de participation citoyenne, de décision collective mais aussi d’éducation populaire. Pour lui, le référendum, c’est un grand oui.

🎥 @elliot_clarke_01
  • Dans son livre, « on s’est battu-e-s pour les gagner », @mathildelarrere retrace l’Histoire du syndicalisme et son importance dans la lutte pour les droits sociaux. Un combat toujours actuel pour des structures en perte d’adhérents et donc de force dans les luttes sociales. 

Un entretien complet à retrouver dans nos vidéos et sur toutes nos plateformes ! #syndicats #syndicalisme #luttesociale 

🎥 @perrinebontemps
  • 23 000 citoyens sont tirés au sort chaque année dans l’optique d’être jurés d’assises. Celles et ceux qui viennent à siéger jugent à statut égal (1 voix sur 9) avec les magistrats dans des affaires criminelles (du vol à main armée au meurtre). Une convocation citoyenne obligatoire, un exercice judiciaire démocratique où le peuple participe à une décision collective de justice.

François-Xavier a vécu cette expérience fascinante avec beaucoup de gravité et d’intérêt. Son récit montre à la fois l’intérêt d’un regard citoyen sur ces affaires mais aussi l’importance du tirage au sort de ces jurys populaires dans la meilleure compréhension de la Justice française. Parce que, participer c’est aussi s’informer et c’est peut-être quelque chose qu’il faudrait penser dans les décisions politiques ? 

Les conventions/assemblées citoyennes s’y essaient mais on aurait tout intérêt à penser au statut de ce citoyen participant aux décisions collectives : indemnités, obligations de participation, codécision avec les élus et surtout respect de ces décisions dans la procédure. Autant de conditions nécessaires au plein exercice de la justice comme de la démocratie participative. 

#tirageausort #democratieparticipative #justice #proces 

Réalisation et montage : @infomargaux / © MOB
  • Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
  • Les affaires du sang contaminé, du Mediator ou de la Dépakine… ça vous parle ? Toutes ces révélations ont été rendues possibles grâce à l’action de plusieurs lanceurs d’alerte. Et ça, c’est seulement les scandales qui concernent la France. Mais qui protège ces “gardiens” de la démocratie des conséquences de leurs révélations ?

Deux lois ont été mises en place pour définir et encadrer le statut juridique de lanceur d’alerte : la loi Sapin 2 en 2016, renforcée par la loi Waserman en 2022. Avant 2016, il était très difficile d’obtenir ce statut : la procédure n’était pas très claire et aucune autorité spécifique n’était désignée pour accompagner les personnes concernées. Malheureusement, ce n’est pas suffisant. 

Pour en savoir plus sur le parcours d’obstacles des #lanceursdalerte , nous avons rencontré Manon Yzermans, responsable juridique et chargée de plaidoyer au sein de la @mlalerte . 

Réalisation et montage : @perrinebontemps / © MOB 

Besoin d’infos ou d’alerter ? La Maison des lanceurs d’alerte pourra vous orienter : https://mlalerte.org/

Pour en savoir plus sur Hervé et son affaire avec Veolia c’est sur @mediapart : “Dissimulation de pollution, mise en danger des salariés : un lanceur d’alerte dénonce le “système Veolia””
  • Le Référendum d’Initiative Citoyenne, souvent appelé RIC, était l’une des principales revendications du mouvement des Gilets Jaunes en 2019, pour que les citoyennes et citoyens aient plus de contrôle sur les décisions politiques. Un dispositif de démocratie directe encore à légaliser en France.

Le sujet revient régulièrement dans les discussions politiques depuis… En décembre dernier, le député France Insoumise @jfcoulomme a déposé une proposition de loi pour inscrire le RIC dans la Constitution. Sans succès à ce jour. Des citoyens tentent de s’emparer du sujet plus localement à Saint-Alban-Leysse près de Chambéry.

@nellydarbois et @albinguillaud , qui ont cofondé avec d’autres le parti @solutiondemocratique . 

En plus de cet engagement pour la reconnaissance nationale du RIC, ils essayent depuis plus d’un an, de mettre en place un RIC dans leur commune en Savoie. Malgré une mairie réfractaire à la mise en place du dispositif. 

Réalisation et montage : Raphaëlle Vivent
Une dizaine de guadeloupéens vont être indemnisés par l’Etat français pour « préjudice moral d’anxiété » : leur exposition au chlordécone au cours de leur vie et leur inquiétude sur le sujet légitiment ce verdict. Dix indemnisations sur presque 1300 plaintes. Une petite victoire qui montre un problème plus large de santé publique : le chlordécone, pourtant interdit en France hexagonale, participe à la pollution de l’eau en Guadeloupe, à une crise de l’eau pour ces citoyens ultramarins. Depuis 2020, Sabrina Cajoly s’engage sur la question de l’accès à l’eau potable en Guadeloupe. Comme beaucoup de territoires dits d’outre-mer, le département français est secoué par de fortes inégalités économiques et sociales. Le taux de pauvreté y est 5 à 15 fois plus important que dans l’Hexagone et le coût de la vie extrêmement élevé. Alors, quand le département organise des « tours d’eau », que l’eau courante est polluée par de forts taux de chlordécone, voire des excréments, il faut se ravitailler en bouteilles ou installer des réservoirs. Et ça a un coût bien trop élevé pour la plupart des guadeloupéens. L’Etat français a pourtant l’obligation d’assurer cet accès à l’eau potable pour l’ensemble de ses citoyens, et c’est ce que nous explique Sabrina Cajoly. Depuis plusieurs années, et face à l’inaction de l’État, son association, @kimbered_fwi a mis en place des recours, à différentes échelles, pour tenter de faire avancer la situation. La juriste s’est aussi bien tournée vers le Conseil de l’Europe que les Nations Unies. Des demandes ignorées voire contestées par l’Etat français. Leur réclamation au Conseil de l’Europe, plus précisément au Comité européen des droits sociaux, est en cours depuis mars 2024. En espérant qu’enfin les Guadeloupéens seront traités comme tous les Français. Realisation et montage : @perrinebontemps / © MOB
1 semaine ago
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1/9
Contrairement à ce qu’en dit généralement la classe politique, quand on demande aux gens de prendre des décisions collectives, ils proposent des idées et solutions pertinentes. Le tout c’est de bien les accompagner dans la thématique choisie. C’est le sujet du nouvel épisode de notre série sur l’Assemblée populaire et citoyenne de @ville_de_poitiers ! On vous a déjà expliqué ce que c’était que l’Assemblée et qui arbitrait le processus (@frequencecommune Commune). Dans ce 3ème épisode, on voulait comprendre comment étaient informés et éduqués les citoyens au sujet choisi : l’accès à une alimentation saine et de qualité pour toutes et tous. Voire une sécurité sociale de l’alimentaire. De nombreux spécialistes de ces questions, des agriculteurs à la grande distribution sont venus discuter de tout cela avec les habitants de Poitiers pour qu’ils aient toutes les cartes en main. L’objectif : leur permettre de prendre une grande mesure sur cette question les 14 et 15 mars à Poitiers ! Sinon rdv fin mars début avril pour notre dernier épisode et leur décision citoyenne à soumettre au conseil municipal et donc aux élus ! Réalisation et montage : @elliot_clarke_01
1 semaine ago
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2/9
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

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En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. 

On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. 

À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ?

Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio !

Infographie : @perrinebontemps
En complexifiant drastiquement le droit du sol à Mayotte, le gouvernement assume d’instaurer une citoyenneté à deux vitesses. Il ouvre surtout la porte à des réformes nationales des conditions pour devenir français-e, prétextant que ces attributions sont beaucoup trop automatiques. On a voulu remettre la loi à plat et surtout les conditions déjà complexes et variées pour obtenir la nationalité. D’autant que le droit du sol ne concerne que 30 000 jeunes par an. À se demander si l’immigration et le droit du sol sont vraiment le cœur de nos preoccupations, non ? Pour creuser (intelligemment !) ces questions, on vous conseille @komune.media ! Elles en parlent en vidéo et avec brio ! Infographie : @perrinebontemps
2 semaines ago
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3/9
Immigration, fin de vie, démocratie, le gouvernement semble vouloir interroger les français, mais il ne sait pas encore sur quoi. Pour ça, il pourrait, en tout cas, ressortir un outil démocratique depuis longtemps délaissé : le référendum. Laissées au placard depuis 2005 et le référendum sur la Constitution européenne, ces questions posées directement aux citoyens permettent pourtant de s’exprimer sur des enjeux nationaux mais aussi locaux. Les Gilets jaunes l’ont remis au goût du jour en 2018 avec leur demande de RIC, référendum d’initiative citoyenne. Depuis, beaucoup de maires s’y essaient et plus de 150 référendums locaux ont eu lieu depuis 2021. Paul Cébille a analysé ces usages et mis en lumière leur utilité dans un rapport publié par GénérationLibre. Il y détaille ces belles réussites en termes de participation citoyenne, de décision collective mais aussi d’éducation populaire. Pour lui, le référendum, c’est un grand oui. 🎥 @elliot_clarke_01
3 semaines ago
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4/9
Dans son livre, « on s’est battu-e-s pour les gagner », @mathildelarrere retrace l’Histoire du syndicalisme et son importance dans la lutte pour les droits sociaux. Un combat toujours actuel pour des structures en perte d’adhérents et donc de force dans les luttes sociales. Un entretien complet à retrouver dans nos vidéos et sur toutes nos plateformes ! #syndicats #syndicalisme #luttesociale 🎥 @perrinebontemps
3 semaines ago
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5/9
23 000 citoyens sont tirés au sort chaque année dans l’optique d’être jurés d’assises. Celles et ceux qui viennent à siéger jugent à statut égal (1 voix sur 9) avec les magistrats dans des affaires criminelles (du vol à main armée au meurtre). Une convocation citoyenne obligatoire, un exercice judiciaire démocratique où le peuple participe à une décision collective de justice. François-Xavier a vécu cette expérience fascinante avec beaucoup de gravité et d’intérêt. Son récit montre à la fois l’intérêt d’un regard citoyen sur ces affaires mais aussi l’importance du tirage au sort de ces jurys populaires dans la meilleure compréhension de la Justice française. Parce que, participer c’est aussi s’informer et c’est peut-être quelque chose qu’il faudrait penser dans les décisions politiques ? Les conventions/assemblées citoyennes s’y essaient mais on aurait tout intérêt à penser au statut de ce citoyen participant aux décisions collectives : indemnités, obligations de participation, codécision avec les élus et surtout respect de ces décisions dans la procédure. Autant de conditions nécessaires au plein exercice de la justice comme de la démocratie participative. #tirageausort #democratieparticipative #justice #proces Réalisation et montage : @infomargaux / © MOB
4 semaines ago
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6/9
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. 

Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique...

Infographie : @perrinebontemps
Dans « démocratie représentative », il y a représentation. Et niveau parité femmes-hommes, les résultats ne sont pas là. Les femmes sont toujours sous-représentées. 1/5ème de nos maires, 37% de nos parlementaires. Et ce, malgré de nombreuses lois et contraintes sur les partis politiques et les élections. Partis qui préfèrent souvent perdre des millions d’amendes aux élections nationales ou magouiller pour ne pas avoir trop de femmes élues. Une tendance qui en dit long sur l’ancrage d’un certain « patriarcat politique » qui n’a rien de très démocratique… Infographie : @perrinebontemps
1 mois ago
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7/9
Les affaires du sang contaminé, du Mediator ou de la Dépakine… ça vous parle ? Toutes ces révélations ont été rendues possibles grâce à l’action de plusieurs lanceurs d’alerte. Et ça, c’est seulement les scandales qui concernent la France. Mais qui protège ces “gardiens” de la démocratie des conséquences de leurs révélations ? Deux lois ont été mises en place pour définir et encadrer le statut juridique de lanceur d’alerte : la loi Sapin 2 en 2016, renforcée par la loi Waserman en 2022. Avant 2016, il était très difficile d’obtenir ce statut : la procédure n’était pas très claire et aucune autorité spécifique n’était désignée pour accompagner les personnes concernées. Malheureusement, ce n’est pas suffisant. Pour en savoir plus sur le parcours d’obstacles des #lanceursdalerte , nous avons rencontré Manon Yzermans, responsable juridique et chargée de plaidoyer au sein de la @mlalerte . Réalisation et montage : @perrinebontemps / © MOB Besoin d’infos ou d’alerter ? La Maison des lanceurs d’alerte pourra vous orienter : https://mlalerte.org/ Pour en savoir plus sur Hervé et son affaire avec Veolia c’est sur @mediapart : “Dissimulation de pollution, mise en danger des salariés : un lanceur d’alerte dénonce le “système Veolia””
1 mois ago
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8/9
Le Référendum d’Initiative Citoyenne, souvent appelé RIC, était l’une des principales revendications du mouvement des Gilets Jaunes en 2019, pour que les citoyennes et citoyens aient plus de contrôle sur les décisions politiques. Un dispositif de démocratie directe encore à légaliser en France. Le sujet revient régulièrement dans les discussions politiques depuis… En décembre dernier, le député France Insoumise @jfcoulomme a déposé une proposition de loi pour inscrire le RIC dans la Constitution. Sans succès à ce jour. Des citoyens tentent de s’emparer du sujet plus localement à Saint-Alban-Leysse près de Chambéry. @nellydarbois et @albinguillaud , qui ont cofondé avec d’autres le parti @solutiondemocratique . En plus de cet engagement pour la reconnaissance nationale du RIC, ils essayent depuis plus d’un an, de mettre en place un RIC dans leur commune en Savoie. Malgré une mairie réfractaire à la mise en place du dispositif. Réalisation et montage : Raphaëlle Vivent
1 mois ago
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9/9

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